déjà plus qu'un tramway
Nous sommes de plus en plus nombreux chaque jour à appeler l'Île de Nantes "notre chez nous" : 26.000 résidents, un chiffre pareil pour les emplois, le tout en croissance. On y ajoute bientôt 15.000 emplois du future CHU, 10.000 étudiants, des dizaines de milliers de visiteurs et patients journaliers.
Et pourtant, la mobilité sur l'Île de Nantes stagne. La solution de la métropole : deux (très) courtes lignes de tramway supplémentaires qui nécessitent un investissement de 300 M€ dans l'immédiat et ça encore pour compléter ses deux mini-lignes à la fin de la décennie : soit 2000 € par foyer nantais.
Tant d’efforts alors qu'une ligne ferroviaire fonctionnelle existe sur site avec une liaison directe vers toute la région nantaise. La ligne, électrifiée, est par ailleurs toujours exploitée par la SNCF qui transfère ces fonctions à Doulon. Avec un investissement minime pour les quais de gare, la ligne Johanna Rolland pourrait de nouveau servir et desservir l’ensemble des résidents et visiteurs entrants et sortants sur l'île de Nantes.
la ligne Johanna RollandNous n'avons rien contre les tramways, ni même leur coût financier. La suppression d'une ligne ferroviaire parfaitement fonctionnelle afin d'installer un tramway pose des questions logistiques, urbanistiques, environnementales graves et met en péril l’avenir de notre mobilité régionale.
Les Mobilitains militent pour un système de déplacements équilibré et efficace qui permet à chacun de choisir comment il souhaite se déplacer. Pour en savoir plus, consultez la Grande Mobilité.
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